Une rentrée bilingue tricotée à la dernière minute

ikas-bi - fcpe
Malgré l’état des effectifs transmis au Dasen par Ikas-Bi et les délégués d’écoles le 6 juin 2013 , et les prévisionnels des directeurs et IEN de fin juin, les moyens de rentrée n’ont pas été prévus dans plusieurs écoles bilingues. Cette situation contrainte entraîne des tricotages de dernières minutes, avec une nouvelle vague de suppressions de postes dans plusieurs écoles. Situation inédite pour une rentrée. Situation dénoncée par Ikas-Bi et la FCPE mardi 10 septembre à Bayonne.

La problématique est multiple. Exemple des écoles bilingues où les parents se mobilisent (mobilisations, courriers, interventions auprès des élus locaux, etc.) :
• Des écoles à sureffectif d’élèves expriment leurs besoins à la rentrée : 0,5 poste de basque à Bayonne Jules-Ferry ; 0,5 de français et 0,5 de basque à Ascain.
• Des écoles se découvrent touchées par de nouvelles suppressions de postes : Urrugne – 0,5 de basque et – 0,5 de français ; Arbonne – 0,5 de français
• Des écoles à multi niveaux et/ou dépassement de seuils sont oubliées : Barcus demande ¼ de basque ; Ustaritz Arrauntz demande 0,5 de basque ; Biarritz Paul-Bert demande de 0,5 de basque ; RPI Arrosa-Ossès demande 0,5 de basque.
• Des écoles et collèges sont bloqués dans leur développement bilingue : Biarritz Thermes-Salins et le collège Aturri de St-Pierre-d’Irube.

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